Pourquoi je ne m’inspire pas des copywriters US ⚡️
Les copywriters que j’admire et dont je m’inspire sont francophones : français, belges, québécois, etc.
Voici quelques ressources en copywriting.
Les marchés américains et français n’ont rien à voir.
Bien sûr, dans mon parcours, j’ai étudié les plus grands, j’ai découvert leurs méthodes et j’en ai acquis une certaine connaissance.
Mais aujourd’hui, j’essaie le plus possible de m’éloigner du copywriting à l’américaine : on ne peut pas l’appliquer tel quel en France, les gens, la culture et les mentalités n’ont rien à voir.
😬 Les punchlines de bourrin.
😬 La forme bullshit qui fait arnaque.
😬 Les promesses qui vendent du rêve.
😬 La familiarité qui n’est adaptée qu’à une cible très spécifique.
😬 L’insistance sur les problèmes jusqu’à la culpabilisation de l’audience.
Je ne remets pas en question les frameworks et structures de base bien sûr (AIDA, PAS, MLS, 4U, etc.).
Je trouve juste que le copywriting à l’américaine manque de subtilité 🐘
Il appauvrit la langue quand on le transpose au français.
Il uniformise le brand voice et le ton des marques.
Cela devient de plus en plus difficile de se démarquer quand tout le monde parle à l’audience de la même manière.
Et puis, en appuyant sur certains biais psychologiques, on est parfois plus proches de la manipulation que de la persuasion.
Où se place la frontière ? C’est un autre débat…
PS : je pense qu’on devrait arrêter de copier les US dans tous les domaines, s’ils sont « toujours en avance », c’est parce qu’on les prend comme modèle pour tout, sans raison, au lieu de créer notre propre vision.